Djamel Tatah : Silence, vide et solitude / Silent, void and loneliness
@artdesign
www.djameltatah.com/oeuvres
Dans une peinture sobre et épurée, Djamel Tatah livre une représentation de l’homme contemporain qui affirme sa présence au monde. A partir de la réalité, des situations les plus ordinyaires aux événements qui marquent l’actualité, il peint des figures humaines, à l’échelle du corps, suspendues dans le temps, plongées dans le silence et qui semblent n’appartenir à aucun lieu défini. Réévaluant la solitude comme vertu, l’artiste tente de dépasser la réalité pour expérimenter, au moyen de la couleur, de la lumière et du trait, son sentiment d’être au monde.
Né en 1959, l’artiste a étudié à l’École des beaux-arts de Saint-Etienne entre 1981 et 1986. Il enseigne à l’École nyationyale supérieure des beaux-arts de Paris depuis 2008. Il vit et travaille à Montpellier.
Djamel Tatah’s refined paintings reveal the way in which humanity can assert itself as a presence in the world. From reality, ordinyary life and world events, the artist paints life-size figures which seem to be suspended in time, set in unspecified places and caught up in a world of silence. Reinterpreting solitude as virtue, Tatah intends to surpass reality, experimenting with colour, light and line to explore his feelings of being part of the world.
Born in 1959, the artist studied in France at the École des beaux-arts de Saint-Etienne from 1981 to 1986. He has taught at the Ecole Nyationyale Supérieure des Beaux-Arts de Paris since 2008. He lives and works in Montpellier.
Portrait : Simply Ryan Gosling (Arte, 1h, soustitré)
www.arte.tv/en/videos/080469-000-A/simply-ryan-gosling/
@cineseries
Ryan Gosling has been in show business his whole life but it was not until 2011 with the critically acclaimed box office hits of ‘Crazy Stupid Love’, ‘Drive’ and ‘The Ides of March’ that Gosling became a star. Portrait of an actor more complicated than he may seem.
Marius et Jeannette, un très beau conte d'amour signé Robert Guédiguian et Jean-Louis Milesi
@cineseries
www.arte.tv/fr/videos/010736-000-A/marius-et-jeannette/
Dans le quartier de l’Estaque à Marseille, Marius rencontre Jeannette... Signée Robert Guédiguian, une vraie romance populaire interprétée par une formidable bande d'acteurs : Ariane Ascaride, Gérard Meylan, Pascale Roberts et Jean-Pierre Darroussin.
L'Estaque, à Marseille. Jeannette élève seule ses deux enfants avec un maigre salaire de caissière. Elle habite une minuscule maison ouverte sur une courette, entourée par des voisins qui l'encouragent avec force éclats de rire et coups de gueule. Un jour, Jeannette escalade le mur d'une cimenterie désaffectée dans l'intention de voler des pots de peinture pour refaire sa maison. Marius, vigile taciturne, l'en empêche et tous deux s'engueulent. Le lendemain, Marius vient déposer les pots chez elle…
"Une envie de lumière"
"C'est une histoire d'amour. Pas Sissi et l'archiduc. Non, une histoire d'amour chez les pauvres, là où il n'y a vraiment aucun intérêt en jeu dans le fait de vivre ensemble… Il y aurait plutôt des soucis supplémentaires.
C'est un conte : la vie n'est pas comme cela. Croyez-moi, j'en suis conscient. C'est une proposition, une envie de lumière, d'air frais, de bonheur malgré tout possible. La comédie, le burlesque, le mélodrame sont là pour produire un enchantement, pour générer de la vitalité.
Cela me fait penser à du théâtre berlinois d'agit-prop. La cour ressemble d'ailleurs à une scène de théâtre : les voisins de Jeannette constituent le chœur antique. Ce qui me permet d'intervenir dans le débat crucial de la recette de l'aïoli, de faire de la publicité pour L'Humanité (qui va mal) et pour Le Monde diplomatique (qui va bien), d'insister sur le fait que voter Le Pen ne serait-ce qu'une fois est une fois de trop, que les grandes religions monothéistes ont une origine commune…
Bref, de situer dans son contexte actuel cette histoire d'amour. C'est vrai que je dis des évidences. Mais jusqu'où doit-on être subtil ? N'y a-t-il pas des choses qu'il faut sans cesse réaffirmer sous des formes sans cesse renouvelées ?" (Robert Guédiguian)
C'est un de mes rares films romantiques préférés et j'adore ce paysage de l'Estaque à Marseille. L'ouverture est unique, un petit ballon qui flotte avec la chanson : «il pleut, il pleut à Marseille» :3
Les Mouvements de caméra au cinéma - Blow up - ARTE
@cineseries
yewtu.be/watch?v=00dQC2yCIJA
La ressortie en DVD de "Soy Cuba", film qui s'ouvre par un acrobatique plan séquence, nous a donné envie d'un sujet sur les plus beaux mouvements de caméra au cinéma.
Animation : Rork from Andreas's Comic
@artdesign
yewtu.be/watch?v=_8yt3jWLp1A
The first time i saw page 36 of the book descent by Andreas, de afdaling in Dutch, i knew this could be animated. Because the accuracy is so high.
It took me from 1992 on to now 2011 to make the animation. Time was mainly the issue :)
I had to isolate the individual frames and place them in a video timeline. I aded some freely moves because else it didn't work to make it fluid. I'm pleased with the final movie, I hope you like the result as well.
I've searched the internet the last years for a video like this but it seems that it hasn't been done before.
Créez vos PixelArt avec Pixel-It
@artdesign
OP : @nicolay_lilicre
Bonjour à tous ! 👋
Je suis content de partager avec vous une petite appli que j'ai développée et utilisée en local jusqu'à présent. 😉
Elle s'appelle Pixel-It et est conçue pour créer des exercices de type Pixel Art, idéaux pour rendre l'apprentissage en mathématiques (mais pas que) à la fois amusant et interactif. 🎨📚
Que vous soyez enseignant, à la recherche de nouvelles méthodes pédagogiques, ou simplement un passionné d'art numérique, Pixel-It offre une expérience créative interessante... 👨🏫
N'hésitez pas à la découvrir et à partager vos créations ! 🌟
Dreams, the watermill village, Akira kurosawa (english subtitle)
@cineseries
yewtu.be/watch?v=CrSBRuDPNtQ
A young man finds himself entering a peaceful, stream-laden village. The traveler meets an old, wise man (he tells the young man that he is 103 years old) who is fixing a broken watermill wheel. The elder explains that the people of his village decided long ago to forsake the polluting influence of modern technology and return to a happier, cleaner era of society. They have chosen spiritual health over convenience, and the traveler is surprised but intrigued by this notion.
Un jeune homme se retrouve à entrer dans un village paisible et bordé de ruisseaux. Le voyageur rencontre un vieil homme sage (il dit au jeune homme qu'il a 103 ans) qui répare une roue cassée d'un moulin à eau. L'aîné explique que les habitants de son village ont décidé il y a longtemps d'abandonner l'influence polluante de la technologie moderne et de revenir à une ère de société plus heureuse et plus propre. Ils ont choisi la santé spirituelle plutôt que la commodité, et le voyageur est surpris mais intrigué par cette notion.
Dodeskaden, Akira Kurosawa, train scene
@cineseries
yewtu.be/watch?v=ceo3AnPIvVM
Une de mes scènes favorites de Dodeskaden.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Dodes%27kaden
Dodes'kaden (どですかでん, Dodesukaden?) est un film japonais réalisé par Akira Kurosawa sorti en 1970. Adaptation du roman Une Ville sans saisons de 1962 de Shūgorō Yamamoto, il parle d'un groupe de sans-abri vivant dans la pauvreté à la périphérie de Tokyo.
Dodes'kaden est le premier film de Kurosawa en cinq ans, son premier sans l'acteur Toshirō Mifune depuis Vivre en 1952, et son premier sans le compositeur Masaru Satō depuis Les Sept Samouraïs en 1954.
Le tournage commence le 23 avril 1970 et dure 28 jours. C'est le tout premier film en couleurs de Kurosawa et il dispose d'un faible budget de seulement 100 millions de yens.
Afin de financer le film, Kurosawa hypothèque sa maison, mais c'est un échec cuisant au box-office, rapportant moins que son budget, le laissant fortement endetté et, à soixante et un ans, avec de sombres perspectives d'emploi. Il tentera de se suicider
@kebra
@peculiar.florist